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Participation au bord de scène - "Ton joli rouge-gorge" - Théâtre Varia


ton joli rouge gorge
Le mercredi 29 janvier à l’issue de la représentation "Ton joli rouge-gorge" au Théâtre Varia,des membres de l’Equality Law Clinic échangeront avec l’équipe du spectacle et avec le public autour des questions liées à la thématique du genre et de ses implications juridiques.
 
Au plaisir de vous y voir nombreux et de partager ce moment avec vous! ?
 
 "À quelques pas de là, la Révolution des couleurs a eu lieu, la binarité des genres n'existe plus, et un petit groupe d’adolescent·e·s se cache dans la forêt. Dom, Béné, Jules, Mich ont dû fuir la société car iels sont atteint·e·s d'un mal mystérieux. Mais iels ne sont pas seul·e·s dans la forêt. Il y a Braun, le robot qui les accompagne, et d’autres créatures qui se manifestent… "

Avocats.be a dédié un article à la Refugee Law Clinic dans sa dernière Tribune !

 

Avocats.be a dédié un article à la Refugee Law Clinic dans sa dernière Tribune !

Cet article est disponible sur le site de la Tribune d'Avocats.be.

La Refugee Law Clinic, signataire d'une Carte Blanche alarmante : «Excision et Asile: les filles reconnues réfugiées sont-elles privées du droit à la vie familiale?»

 

«Excision et Asile: les filles reconnues réfugiées sont-elles privées du droit à la vie familiale?»L’ASBL GAMS, avec la Refugee Law Clinic et de nombreuses autres associations signataires ont rédigé une carte blanche afin de susciter un changement dans la politique actuellement ménée  en matière de droit au séjour pour les parents des fillettes risquant une mutilation génitale féminine.

« En avril 2019, le CGRA a annoncé un changement de politique à l’égard de ces familles. Désormais, les parents n’obtiennent plus le statut de réfugiés avec leur(s) fille(s) en l’absence de preuves d’une crainte de persécution qui leur soit propre. La crainte des parents qui refusent l’excision pour leur fille n’est donc plus reconnue comme une crainte de persécution.

Ainsi, les parents de plusieurs filles ayant obtenu un statut de réfugiée dans ce cadre ont reçu des décisions négatives du CGRA, faisant l’objet de recours auprès du CCE dont l’issue est incertaine. Alors que nous espérions une évolution positive de la jurisprudence, nous sommes inquièt.e.s par rapport au risque de séparation des familles et au droit à l’unité familiale des enfants.»

Le contenu intégral de cette carte blanche est disponible sur le site du journal Le Soir.

© Le Soir

 

 

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